Océane Fyls
Nombre de messages : 39 Age : 32 Ton cheval : Prickly Foam Ta Maison : Arabian Âge du personnage : 17 ans Date d'inscription : 02/03/2007
| Sujet: || Ballade relaxante || Lun 5 Mar 2007 - 0:04 | |
| Il était aux environs de 18h. La journée touchait doucement à sa fin et le soleil commençait sa longue descente vers l'autre coté de la terre, chose qui lui prendrait sûrement une bonne heure. Juchée sur sa Prickly, Océane se laissait doucement bercer par son pas actif et langoureux, le vent se promenant doucement sur son visage pâle. La jument semblait heureuse de cette petite promenade et ne manquait pas d'arracher au passage une ou deux touffe d'herbe, histoire de savoir quel goût elle avait par ici ^^. Mais Océane ne la grondait pas, la laissant faire à sa guise. Après tout, s'était une séance de relaxation non ? Les rênes longues, les jambes descendues, elle se sentait parfaitement bien. Elle ferma un long moment les yeux, sentant maintenant les muscles de sa jument se tendre sous elle, ce qui lui rappela à quel point celle-ci pouvait être puissante lorsqu'elle s'y mettait. Doucement, elle se pencha sur l'encolure de l'alezane, l'entourant de ses bars pendant que celle-ci marchait toujours avec entrain.
"Je t'aime ma belle… Tu l'sais ça hein ?"
Bien sure, elle n'attendait nullement de réponse de sa jument, aussi intelligente soit-elle. Elle lui caressa alors longuement l'encolure avant de se redresser, se disant qu'elle devait être bien lourde ainsi posé sur l'encolure de l'alezane. Elle se rassit alors confortablement dans sa selle, déchaussant les étriers et les croisant. Un séance de mis en selle... Parfait ! Doucement, elle rassembla ses rênes et serra les mollets, demandant à la jument le trot. Toute contente, la jument partie au quart de tour, sortant ses allures de grand prix, donnant tout ce qu'elle pouvait pour faire la belle. Elle aimait tant l'extérieur que cela lui donnait des ailes. Océane sourie devant l'entrain de sa jument et accompagna sans mal son trot cadencé et aérien, son bassin amortissant chacune de ses foulées. | |
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